démarche artistique
Le travail proposé ici se veut un transpercement, une dissolution des frontières de genre.
Un support : la toile du peintre.
Parfois, très rarement, de la peinture.
Du relief, des objets soutirés à leur destin premier, collés sur la toile. De la photographie, démantelée, décalée. Des sorties de cadre. Des règlements de compte avec les interdits passés, comme dans On ne met jamais les doigts sur la disquette !, ou avec des injonctions présentes, comme dans On n’a pas le droit d’abimer une œuvre d’art.
Réappropriation de la notion de recyclage, voyage dans quelques vestiges, ces œuvres visuelles mobilisent d’autres sens, comme l’odorat, par la présence d’épices et de plantes odoriférantes, (Un café pour Bob), ou le toucher, comme dans Bougé ! ou, bien sûr, dans On ne met jamais les doigts sur la disquette !.
Elles s’inscrivent dans un désir de repousser les limites conceptuelles, expérimentales, personnelles.
Sacha Arroyo s’appuie pour cela sur sa volonté de ne pas choisir entre la logique aristotélicienne et la sagesse orientale, l’abstrait et le figuratif, la nature et la technologie… Ayant l’intime intuition que son bonheur réside dans la tenue simultanée des (apparents) contraires.
Ce bonheur, il désire le partager à travers ses œuvres, qu’en enfant du XXIe siècle, il ne conçoit pas sans interactivité. Dans la plupart d’entre elles, les personnes du public sont invitées à établir par le geste une connexion entre leur propre histoire et l’œuvre.
Un support : la toile du peintre.
Parfois, très rarement, de la peinture.
Du relief, des objets soutirés à leur destin premier, collés sur la toile. De la photographie, démantelée, décalée. Des sorties de cadre. Des règlements de compte avec les interdits passés, comme dans On ne met jamais les doigts sur la disquette !, ou avec des injonctions présentes, comme dans On n’a pas le droit d’abimer une œuvre d’art.
Réappropriation de la notion de recyclage, voyage dans quelques vestiges, ces œuvres visuelles mobilisent d’autres sens, comme l’odorat, par la présence d’épices et de plantes odoriférantes, (Un café pour Bob), ou le toucher, comme dans Bougé ! ou, bien sûr, dans On ne met jamais les doigts sur la disquette !.
Elles s’inscrivent dans un désir de repousser les limites conceptuelles, expérimentales, personnelles.
Sacha Arroyo s’appuie pour cela sur sa volonté de ne pas choisir entre la logique aristotélicienne et la sagesse orientale, l’abstrait et le figuratif, la nature et la technologie… Ayant l’intime intuition que son bonheur réside dans la tenue simultanée des (apparents) contraires.
Ce bonheur, il désire le partager à travers ses œuvres, qu’en enfant du XXIe siècle, il ne conçoit pas sans interactivité. Dans la plupart d’entre elles, les personnes du public sont invitées à établir par le geste une connexion entre leur propre histoire et l’œuvre.
biographie et sources d'inspirations
Sacha Arroyo, artiste plasticien nantais né un 22 août (on ne dira pas de quelle année), trouve sa source et son origine dans une vie cherchant depuis longtemps à repousser les limites.
Tel Eve tirée du côté d’Adam, il a grandi très vite à partir de l’esprit créateur d’une artiste photographe plasticienne.
Encore tout jeune, il a peu à dévoiler sur son parcours, son histoire.
Il s’apprête avant tout à croquer la vie à pleines mines.
Sacha trouve sa force d’inspiration première dans l’héritage artistique et spirituel de son père, Manolo Arroyo, créateur et danseur né en Californie, près de Los Angeles, dont la production abondante véhicule les valeurs de liberté, de partage et de rêve.
On reconnaîtra également dans le travail de Sacha Arroyo l’espièglerie provocatrice d’un Prévert, dont les textes éclairent la libre pensée du jeune plasticien.
Enfin, Sacha ne serait pas là s’il ne baignait pas dans l’abondance de la création nantaise, et il profite de cette présentation biographique pour rendre hommage aux artistes vivants, ici et maintenant, dont les créations et expositions le nourrissent au quotidien.
Il a la joie d'exposer du 5 novembre au 16 décembre 2016 avec 13 autres de ces artistes à La Galerie 18, pour la 4e édition de "7 au coteau".
Tel Eve tirée du côté d’Adam, il a grandi très vite à partir de l’esprit créateur d’une artiste photographe plasticienne.
Encore tout jeune, il a peu à dévoiler sur son parcours, son histoire.
Il s’apprête avant tout à croquer la vie à pleines mines.
Sacha trouve sa force d’inspiration première dans l’héritage artistique et spirituel de son père, Manolo Arroyo, créateur et danseur né en Californie, près de Los Angeles, dont la production abondante véhicule les valeurs de liberté, de partage et de rêve.
On reconnaîtra également dans le travail de Sacha Arroyo l’espièglerie provocatrice d’un Prévert, dont les textes éclairent la libre pensée du jeune plasticien.
Enfin, Sacha ne serait pas là s’il ne baignait pas dans l’abondance de la création nantaise, et il profite de cette présentation biographique pour rendre hommage aux artistes vivants, ici et maintenant, dont les créations et expositions le nourrissent au quotidien.
Il a la joie d'exposer du 5 novembre au 16 décembre 2016 avec 13 autres de ces artistes à La Galerie 18, pour la 4e édition de "7 au coteau".